Concours de poésie

Gabriela Militaru-Cismaru, Poésie, Groupe I

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Gabriela Militaru-Cismaru participe à la section „Poésie pour enfants” du Concours International de Création Littéraire, 4ème édition, en provenance de Craiova, Roumanie. Gabriela a 13 ans et est guidé par le professeur Liliana Hoancă, au lycée énergétique de Craiova. Nous la remercions pour sa participation et lui souhaitons plein succès.

APRÈS LA GUERRE

À travers des lieux lointains,
Il n'y avait que des maisons abandonnées,
Il n'y avait plus d'homme,
Seul le vent froid soufflait,
La poussière des ruines balayait
Et toute la nature triste se sentait.

De cette terre de guerre,
Les gens sont partis, jamais revenus,
Car ils n'étaient plus en sécurité,
Et les enfants pleuraient
Car les chars voyaient
Et la paix disparaissait.

Tous voulaient rentrer chez eux
En espérant la paix d’autrefois.
Maintenant ils se souvenaient
Comme ils étaient heureux
Et ils pensaient
À ce qu'ils jadis avaient.


LE LIVRE

Sur une étagère poussiéreuse
Il y a longtemps j'ai trouvé
Dans un livre épais,
Avec une belle couverture,
Dans les pages obsolètes,
 Des centaines de mots.

Quand j'ai vu ça
Je n'y croyais pas
Que je resterai des heures
Et j'y découvrirai
Une belle histoire
Très précieuse.

L'univers que j'ai découvert
Était sans limites,
Un royaume infini
Et incroyable,
Quelles belles histoires il avait,
Que je n'oublierai jamais.

Le livre m'a beaucoup apporté :
Une histoire inoubliable,
Une histoire étonnante,
Et des moments de rêve.
Je l’ai trouvé, je l’ai lu
Et j’ai pleuré.


LE TABLEAU

Un soir, me promenant dans une ruelle,
Quand personne ne marchait plus dans la rue,
Tard, pas un bruissement ne se faisait entendre,
Seulement je marchais seul,
Sous la lumière des étoiles qui brillaient dans le ciel,
Et de la lune, avec le mystère de la nuit.

Silence. Je marchais toujours,
Et les étoiles éclairaient mon chemin,
Et la belle lune
M’emmenait chez moi.
Mais une lumière m'a arrêté
Et une vitrine m’a attiré.

Je me suis arrêté, vers lui j'ai regardé,
Il m'a séduit par son éclat.
J'ai tout oublié,
J'ai tout laissé de côté
Car j'ai vu quelque chose de spécial :
Dans la vitrine- un tableau.

Après l'avoir repéré,
Ce tableau m'a envoûté,
Pour moi, c'était une chose enchantée,
Dans un bel univers il m'appelait,
Je pouvais voir sa lueur dans la nuit,
Son image surpassait tout.

C'est pourquoi je me suis approché,
Et je l'ai étudié en détail.
J'ai vu un autre monde en lui,
Et je ne croyais pas
Que j’allais le regarder pendant des heures,
Avec admiration.

C'était fascinant, vivement coloré,
Il avait tellement plus que je ne pouvais savoir,
Il avait une lueur spéciale,
Je faisais partie de son monde,
Et quand je l'ai regardé,
Je rêvais encore.

Ce tableau m'a fait très plaisir,
Et quand je l’ai quitté,
J'ai réalisé que le temps a passé,
Il s’est arrêté.
Bien que j'aime beaucoup ce tableau,
J'espère que celui qui l'aura sera heureux.